Nous aimons la bière et la bonne cuisine. C’est pourquoi nous sommes toujours enthousiastes à l’idée d’une association particulièrement délicieuse.
Voici notre petit guide de l’accord mets et IPA. Une fois que vous l’aurez maîtrisé, vous pourrez épater tous les amateurs d’IPA.
Sachez toutefois que toutes les IPA ne se prêtent pas forcément à des « food pairing ».
L’un des principes les plus fondamentaux de l’accord bière et mets est la correspondance de l' »intensité ».
En somme, le plat ne doit pas être plus corsé que la bière et vice-versa.
Cela étant dit, vous obtiendrez généralement plus de succès avec les IPA de session et les IPA de force normale.
En général, les doubles, triples et quadruples IPA ont beaucoup trop d’arômes (amertume, jutosité, douceur, etc.) et de volume d’alcool pour se marier avec la plupart des plats. Elles ont donc tendance à dominer complètement et il est préférable de les déguster en dehors d’un accord intentionnel.
Lorsque l’on parle d’IPA, l’arôme de houblon est le critère le plus évident pour commencer.
Du point de vue de l’association des mets, le principe de la « recherche de compliments » fonctionne bien ici. Votre objectif est de mettre en évidence les saveurs similaires qui existent à la fois dans le plat et dans la bière.
Heureusement, les IPA américaine modernes ont des profils si distinctement fruités qu’il y a de quoi se faire plaisir.
Par exemple, l’association avec à un ceviche. Les agrumes et la mangue de cette bière s’harmonisent avec les agrumes du poisson et les cubes de mangue. Ou encore l’une de mes préférées, une Citra session IPA, avec de délicats tacos de poisson blanc et un zeste de citron.
Même si vous négligez tout le reste, si vous vous en tenez à ce seul principe, les possibilités d’association sont quasiment infinies.
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Il n’y a pas si longtemps, il n’existait que quelques marques de bières sans alcool ou à faible teneur d’alcool sur le marché, dont aucune n’offrait une grande diversité de saveurs ou de styles. Aujourd’hui, de grandes marques et des brasseries artisanales se sont lancées dans la course et proposent des bières sans alcool, notamment des lagers, des IPA et des stouts.
L’un des principaux moteurs de la tendance à la bière artisanale sans alcool est la prise de conscience croissante des risques pour la santé associés à la consommation d’alcool. De nombreuses personnes choisissent de réduire ou d’éliminer leur consommation d’alcool, soit pour des raisons de santé personnelle, soit simplement pour se sentir mieux et plus énergique. En conséquence, la demande de boissons à faible teneur en alcool ou sans alcool a considérablement augmenté ces dernières années, et de nombreuses brasseries ont répondu à cette demande en créant de nouvelles options innovantes de bières sans alcool.
Un autre facteur de croissance de la bière artisanale sans alcool est l’appréciation croissante de l’art et du savoir-faire de la fabrication de la bière. De plus en plus de personnes s’intéressent à la culture de la bière, les brasseries expérimentent des techniques nouvelles et innovantes pour créer des bières complexes et savoureuses à faible teneur en alcool ou sans alcool.
La catégorie des bières sans alcool ayant été peu innovantes au cours des dernières décennies, il s’agit d’une véritable opportunité pour les brasseurs et d’un terrain de jeu expérimental pour les brasseries artisanales.
Cela a conduit à la création d’une large gamme de bières artisanales sans alcool qui offrent le même goût et la même complexité que les bières traditionnelles, mais sans la teneur en alcool.
Au lieu d’avoir un goût de carton mouillé ou de bière blonde plate sans punch, les bières sans alcool ont – parfois grâce à des houblons spéciaux – une très bonne rétention de mousse, une somptueuse sensation en bouche et un corps qui rivalise avec les bières « normales ».
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Les bières vieillies en barriques sont un style de bière unique et complexe qui est devenu de plus en plus populaire ces dernières années. Ces bières sont brassées selon des méthodes traditionnelles, mais elles sont ensuite vieillies dans des fûts ayant contenu d’autres types d’alcool, notamment du whisky, du bourbon ou du vin, voire du rhum ou de la tequila.
Différents types de bois sont utilisés, notamment le chêne, le pommier, l’aulne, le hickory et bien d’autres encore. L’intérieur de la plupart des fûts est carbonisé ou grillé pour rehausser la saveur du bois.
Le processus de maturation en barriques ajoute de nouvelles saveurs et de nouveaux arômes à la bière, créant ainsi un goût vraiment unique et distinctif.
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Bière et chocolat : deux des plus grands plaisirs de la vie ! Et deux que la Suisse ne manque pas d’offrir en abondance. Mais saviez-vous qu’ils se marient délicieusement ? En effet, les saveurs douces et amères de la bière et du chocolat se marient étonnamment bien.
En fait, la bière et le chocolat ont plus en commun qu’on ne le pense. Tous deux subissent un processus de fermentation pour créer leurs saveurs uniques. Un processus qui exige patience, curiosité et savoir-faire de la part des brasseurs artisanaux et des chocolatiers. Le résultat final est un mélange équilibré de douceur et d’amertume qui se marie parfaitement.
Enfin, avec la bonne combinaison de saveurs, votre bière rehaussera l’arôme du chocolat et vice versa.
La clé d’une combinaison bière-chocolat réussie est de garder le sucré avec le sucré et l’amer avec l’amer. Mais vous pouvez aussi jouer sur les contrastes de saveurs !
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Les Red Ales sont originaires d’Europe, certainement d’Irlande, et désignent des styles de bière de couleur rouge foncé ou d’apparence rougeâtre, en français on les appelles régulièrement des “rousses” ou “ambrées” en designant leur couleur. Ce style de bière attend toujours, dans une certaine mesure, de percer et de se faire une place parmi les styles de bière tendance.
Les Red Ales peuvent presque être considérées comme la version européenne d’une Amber Ale américaine, puisque les termes « red » et « amber » décrivent essentiellement la même bière pleine de saveur, houblonnée et de goût de beurre. Actuellement, les Red Ales sont une catégorie étant un fourre-tout pour tout ce qui n’est pas une foncé ou noir (dark ale, porter ou stout), et qui n’est pas une Pale Ale (blonde).
La Red Ale est probablement issue d’Irlande, même si elle est aujourd’hui principalement appréciée aux États-Unis. En Europe, sa présence se fait discrète et la tendance est plus aux IPA fruitée ou aux Sour avec leur acidité.. Le terme « Red Ale » est déjà mentionné dans un poème irlandais du huitième ou neuvième siècle. Toutefois, cette boisson sera certainement très différente de la Red Ale actuelle. On dit que cette variété de bière aujourd’hui connue est née en 1710 dans la ville irlandaise de Kilkenny, dont la bière connue du même nom. Un autre nom connu, la Smithwick se concentre davantage sur le malt que sur le houblon. Ce sont les deux bières traditionnelle de ce style que l’on peut déguster dans tout pub irlandais traditionnel (on ne parle pas de la stout, car c’est un autre sujet 😉 ).
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Voici une recette de dessert simple et délicieuse qui incorpore la bière Red Ale:
1 pâte à tarte pré-faite ou maison
6 pommes pelées et coupées en petits morceaux
1/2 tasse de sucre
1 cuillère à soupe de farine
1 cuillère à soupe de cannelle
1/2 tasse de bière red ale
2 cuillères à soupe de beurre
sucre glace (facultatif)
Préchauffer le four à 190°C.
Déposer la pâte à tarte dans un moule à tarte.
Dans une casserole, faire fondre le beurre à feu moyen. Ajouter les pommes, le sucre, la farine et la cannelle et remuer jusqu’à ce que les pommes soient enveloppées de la mixture.
Ajouter la bière Red Ale et remuer jusqu’à ce que la mixture épaississe.
Verser la préparation aux pommes sur la pâte à tarte.
Enfourner pendant 40 à 50 minutes, ou jusqu’à ce que la pâte soit dorée et les pommes soient tendres.
Laisser refroidir et saupoudrer de sucre glace si désiré.
Bon appétit! Cette tarte aux pommes à la bière red ale est un dessert parfait pour les amateurs de bière, avec un goût subtil et délicat de bière qui se marie à merveille avec les pommes sucrées et la cannelle.
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La fermentation est un processus crucial dans la production de bière. Il existe deux types de fermentation utilisés dans la production de bière: la fermentation haute et la fermentation basse. Chacun de ces types de fermentation présente des différences clés en termes de température, de durée, de type de levure utilisé et d’impact sur le goût et les arômes de la bière. Dans cet article, nous allons explorer les différences clés entre la fermentation haute et basse dans la production de bière et comment elles contribuent à la création de styles uniques et variés.
La fermentation est un processus biologique qui convertit les sucres en alcool et en dioxyde de carbone (CO2) par les levures. Il existe deux types de fermentation utilisés dans la production de bière: la fermentation haute et la fermentation basse.
La fermentation haute, également appelée fermentation aléatoire, utilise des levures qui flottent à la surface de la bière, comme Saccharomyces cerevisiae. Elle se déroule généralement à des températures comprises entre 15 et 25 degrés Celsius et peut durer de quelques jours à une semaine. Les bières produites par fermentation haute ont généralement des taux d’alcool plus élevés et une forte carbonatation. Les bières les plus couramment produites par fermentation haute sont les bières blondes, les bières ambrées, les bières rousses et les bières à levure belges.
La fermentation basse, également appelée fermentation en fond, utilise des levures qui se déposent au fond de la bière, comme Saccharomyces pastorianus et Saccharomyces carlsbergensis. Elle se déroule généralement à des températures comprises entre 7 et 15 degrés Celsius et peut durer de une à quatre semaines. Les bières produites par fermentation basse ont généralement des taux d’alcool plus faibles et une faible carbonatation. Les bières les plus couramment produites par fermentation basse sont les bières lager, les bières pilsner et les bières bock. C’est également le mode de fermentation le plus répandu pour les processus industriels.
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La bière, cette boisson alcoolisée qui accompagne les moments de détente entre amis ou en famille, a une histoire vieille de plusieurs millénaires ! Les origines de la bière remontent à l’Antiquité, lorsque les premiers humains ont commencé à cultiver des céréales comme le blé et l’orge.
Durant l’antiquité, les gens ne savaient pas encore brasser de la bière comme on la connaît aujourd’hui. Ils faisaient plutôt fermenter ces céréales pour en faire des breuvages alcoolisés, qui étaient utilisés pour des rituels religieux ou pour célébrer des occasions spéciales. Ces boissons étaient appelées « bière de céréales » ou « bière primitive » et étaient très différentes de la bière que l’on connaît aujourd’hui.
La première véritable bière est apparue il y a environ 5 000 ans en Mésopotamie (actuellement Irak). Les Sumériens, qui étaient des agriculteurs avancés, ont commencé à utiliser des techniques de brassage pour produire une boisson alcoolisée appelée « kash », qui était fabriquée avec du malt, de l’eau et des plantes aromatiques. Cette boisson était considérée comme un don des dieux, et était utilisée lors des cérémonies religieuses et des fêtes.
Au fil des siècles, la technique de brassage s’est perfectionnée et s’est répandue dans d’autres régions du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Europe. Les Égyptiens, les Grecs et les Romains ont également développé leur propre version de la bière, en utilisant des ingrédients locaux et des techniques de brassage différentes.
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